Dans ce contexte de crise sanitaire, les consommateurs et les politiques ont pu ressentir l’inconfort et même le risque que comporte la dépendance aux biens de première nécessité, tels que l’énergie. Les limites de la délocalisation sont plus que palpables notamment avec des pays politiquement instables. « L’effet ressenti » d’un besoin d’indépendance énergétique est encore plus fort en ces temps perturbés.
Le granulé de bois, ressource locale et écologique, a su répondre aux préoccupations environnementales et aux attentes des « consom’acteurs » dans cette période particulière.
Un prix qui reste stable malgré la crise
Cette situation exceptionnelle a eu un impact fort sur le prix des énergies et les effets ne sont pas terminés, notamment pour l’électricité par exemple qui sera amenée à augmenter. En effet, en comparaison avec le fioul, l’électricité ou le gaz, le granulé de bois n’est pas ou très peu affecté impacté par les aléas internationaux (sanitaire, financier, géopolitique …).
Le prix du granulé de bois dépend des coûts d’une matière première locale, véritable garant de la stabilité. Les légers soubresauts de cette courbe s’expliquent par la variation des saisons.
Une ressource locale qui soutient l’économie française
La période que nous traversons nous fait comprendre à quel point consommer « local » prend tout son sens. L’énergie est un bien de première nécessité et comme tout bien de première nécessité, il est rassurant de savoir qu’il est disponible à proximité. La majorité des producteurs de granulé s’approvisionnent à moins de 150 km. La distance entre le distributeur et le client est le plus souvent inférieur à 50 km.
Si le granulé de bois est renouvelable et local, c’est avant tout parce qu’il provient de l’industrie du bois qui est un secteur d’activité non délocalisable. Se chauffer au granulé de bois fait vivre l’économie au plus proche des territoires et soutient un service de proximité, humanisé.
Un combustible écologique
Le bois-énergie en France contribue à éviter l’importation de l’équivalent de 41 super tankers de 300 000 tonnes chacun d’énergies fossiles par an. L’utilisation du bois permet de limiter les risques écologiques liés au transport d’énergies fossiles et à la gestion des déchets nucléaires. De plus, cela concourt au respect des objectifs climatiques et à la réduction du déficit de la balance commerciale « énergie » fortement grevée par les importations d’énergies fossiles.
Une indépendance énergétique
Se chauffer au granulé de bois participe aussi à l’engagement collectif en augmentant l’indépendance énergétique, en réduisant les émissions des gaz à effet de serre et en s’épargnant les risques écologiques liés aux énergies fossiles et fissiles.